mardi 21 septembre 2010

Le boitier

Ma progression est grandiloquente, digne des plus grandes pointures de l'histoire du code de la route, de Jérome Rothen, à Emmanuel Adebayor. Comme je suis autour des 9/10 fautes, j'ai pu inaugurer le boitier aujourd'hui. Ça change peu d'une télécommande même si ça aurait été peut-être plus logique de le dessiner sous la forme d'un volant. Ils l'ont bien conçu pour Mariokart, Rousseau aurait pu l'adapter pour ses élèves. Le système est moins hygiénique qu'un bon vieux feuillet A4 puisqu'on ne peut pas se laver les mains à l'auto-école.

Avoir le droit au boitier, c'est symbolique du premier pas vers la réussite mais aussi d'une certaine domination dans la salle de l'AE. Il y a ceux qui ont droit au boitier et les autres, les débutants, ou les chèvres. L'avantage, c'est de sortir en 1er sans avoir besoin de se taper l'auto-correction de ses réponses. Le boitier sur l'unité centrale, un petit papier qui sort avec un détail de ses erreurs en fonction des grands thèmes du code. Bien foutu. L'inconvénient majeur réside dans le fait que j'aimais bien tricher sur la correction papier en me donnant une ou deux fautes de moins, là ça me parait compliqué.

Je claque 8 fautes pour mon premier passage au boitier dont une provoquée par glissade, et l'autre suite à la vision d'un carrefour de mon bled servant de diapo pour une des questions. Hallucinant. J'ai récupéré la photo mais ne peut pas la mettre ici pour l'instant en raison de ma volonté de garder tout ça accidentel (lapsus lexical) confidentiel jusqu'à l'arrivée en Préfecture.

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